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Pourriez-vous nous présenter très brièvement votre établissement ?
Nous accueillons 510 élèves ainsi qu’une antenne du GRETA, un certain nombre de formations en bac pro en CAP avec une spécificité : nous avons une ULIS (unité locale d’inclusion scolaire). Le lycée va être totalement restructuré, avec comme projet la fusion entre les deux sites actuels.
Quelle est la place de l’international dans votre projet d’établissement ?
Un des trois axes du projet d’établissement qui a été réécrit il y a un peu plus d’un an est centré sur l’international et l’ouverture culturelle. Ça se traduit par des enseignant-e-s qui sont formé-e-s à la DNL (discipline non linguistique) en commerce et systèmes numériques. Nous participons à plusieurs projets proposés par la DAREIC. Il y a une grosse dynamique Erasmus+ et nous avons par ailleurs un partenariat avec Daegu en Corée du Sud.
Qui sont les acteurs de la promotion des langues vivantes et des projets à l’international ?
Je dirais un peu tout le monde. Une spécificité est que tout le monde s’investit, pas uniquement des professeur-e-s de langues. De nombreux collègues se montrent curieux et assistent à des cours en DNL. Il y a une réelle dynamique dans cet établissement et de plus en plus d’élèves osent aller faire leur stage à l’étranger. Cela a été très net ces dernières années.
Quelles en sont les actions phares ?
De très nombreux projets Erasmus+ avec des mobilités tant pour les adultes que pour les élèves. Le fait que nous ayions réussi à préserver l’allemand. Nous avons un logement dédié à la réception de collègues étrangers qui viennent faire des stages d’observation chez nous. Par ailleurs, un moment fort est les Erasmus Days avec l’organisation d’un brunch aux couleurs des pays de l’Europe.
Que représente le label Euroscol pour vous ?
Une valorisation pour l’équipe de direction et les enseignant-e-s. C’est la reconnaissance d’un engagement, un gage de crédibilité et un signe d’ouverture vers l’international. Ce sera également un gage de qualité vis-à-vis des entreprises qui accueillent nos élèves lors des stages.
Quelles sont les perspectives d’avenir ?
Obtenir la charte « Enseignement et formation professionnelle ». Étoffer et consolider tous nos partenariats, rendre les mobilités plus fluides. Pouvoir élargir nos actions Erasmus+ au post-bac en nous lançant dans une demande de formation « Enseignement supérieur ».
Mise à jour : décembre 2020